vendredi 31 octobre 2008

Sur le Web, qui vous explique comment faire simple ?

Beaucoup de bruit
Vous trouvez sur les réseaux sociaux des centaines de personnes qui vous expliquent comment utiliser les réseaux sociaux. Les blogs de professionnels du marketing tentent de vous convaincre qu'il n'y plus de communication que Web. Chacun y va de sa nouveauté, de sa méthode pour faire de l'e-mailing, du blog qui marche, de la communication off-line qui fonctionne.

Mais qui vous explique comment faire de tous ces outils des atouts simples pour donner une image réaliste et positive de votre savoir-faire et de votre activité ?

Qu'est-ce que faire simple ?
C'est peut-être vous donner les moyens de comprendre quel bénéfice vous pouvez tirer de tous les outils Internet. C'est peut-être aussi vous dire si vous pouvez vous en servir. C'est surtout vous donner une idée du temps que durera la mode autour de cet objet, de ce réseau social, etc., avant que tous vos concurrents ne se soient épuisés pour rien tandis que vous aurez continuer à investir sur des outils de base, comme votre newsletter et vos campagnes d'e-mailing.

Qui peut vous aider à faire simple ?
Qui, aujourd'hui, est en mesure de vous proposer un regard complet sur votre communication et votre marketing multi-canal ? Les grandes agences qui ont racheté à prix d'or des Web agencies pour compléter leur portefeuille ? Les agences de taille moyenne qui ont mis 5 ans à comprendre le Net et l'appliquent désormais au quotidien, mais en parallèle de leur coeur de métier ?

Seuls les acteurs qui vous proposent une étude de votre communication seront demain en mesure de vous accompagner simplement et efficacement dans l'évolution de votre démarche. Ils seront les seuls à connaître vos objectifs et vos moyens. Car dans la course à l'innovation sur Internet, rares sont les agences, les gourous et les spécialistes qui réfléchissent en termes de mise en application et d'intégration dans les solutions des TPE et des PME.

Alors, les réseaux sociaux et autres widgets sont faits uniquement pour les grandes entreprises ? Non, mille fois non. Mais quelques questions s'imposent, pour les outils de communication Internet comme des logiciels bureautiques :
  • Lesquels sont réellement adaptés à vos besoins et vos ressources ?
  • Quel doit être mon investissement initial pour installer un tel outil ?
  • Comment de temps, chaque jour ou chaque semaine, dois-je consacrer à ce mode de communication pour qu'il soit efficace ?
  • Comment vais-je devoir m'organiser, avec mes équipes, pour tirer parti de mes nouvelles "solutions" ?
Une fois ce constat fait, et uniquement après ce constat, vous pourrez commencer à établir un plan d'action pour mettre en place une e-communication et un e-marketing utiles et dynamiques.

Maintenant, question cruciale : combien de fournisseurs ou d'"amis" vous ont proposé de s'occuper de votre problématique plutôt que d'essayer de vous vendre des solutions toutes faites ?

lundi 30 juin 2008

Pour bien refondre un site Web

Prenez un site vieillissant, dont le contenu manque un peu de pep's, et dont l'interface est soit dépassée, soit désorganisée par les incessantes et incomplètes mises à jour, ou les images mal calibrées. Ne pas se lancer dans un projet trop complexe, préférez plusieurs services efficaces à la fin desquels vous pourrez interroger les lecteurs et les utilisateurs, voire quelques amis, plutôt qu'un événement qui mobilisera une trop grande équipe et en ferait un banquet indigeste.

1- Bien se remuer les méninges pour savoir comme redéfinir le schéma de l'interface. Rien de tel qu'un menu plus léger pour mettre en appétit. Repenser la structure des pages sans exagérer. Commencer par l'accueil, avant de s'occuper des rubriques, et seulement à la fin aérer les articles avec un fouet fin.

Sur la nappe, les zones de lecture doivent être mises en évidence et la navigation doit redevenir claire, et simple d'accès. Mettre de côté les boutons isolés et les encarts perdus dans les colonnes. Pour la barre de navigation, supérieure ou latérale, n'utiliser que des boutons bien frais, et retirer les images trop grandes ou trop lourdes. Les étendre proprement sous la publicité et son logo, pour la barre supérieure, en prenant soin d'en faire une séparation bien nette avec le reste de l'interface et des textes éditoriaux. Pour la barre latérale, pourquoi ne pas prendre des menus dépliants pour ne mettre en valeur que la rubrique active ?

2- Choisir la zone qui recevra les textes et l'écarter un peu des encarts latéraux, si vous en avez. Disposer les textes récents au-dessus des textes plus anciens. Ne pas hésiter à regrouper les moins récents dans une zone archive. Intercaler un peu de publicité, entre les groupes. D'abord pour donner un peu plus d'images à tous ces textes, pour laisser l'œil et l'esprit respirer.

En ce qui concerne les encarts, bien faire réduire les plus importants pour ne laisser que les composants les plus marquants. Ensuite, battre les encarts secondaires ou mineurs et attendre qu'ils reviennent pour les installer. S'ils ne reviennent pas, les oublier, comme le feront les lecteurs. Vous utilisiez des encarts à coins arrondis, dans votre précédente recette ? Alors reprenez vos coins bien carrés, émancipez-vous ! Donnez aussi quelques couleurs à la table, installez un sondage ou une enquête. Les convives adorent qu'on leur demande si le plat est à leur goût.

3- Reprenez les fonctionnalités que vous avez abandonnées ou laisser flétrir et demandez-vous si elles sont toujours utiles. Une bonne feuille électronique suffit peut-être, mais plus régulière, qu'une macédoine trop finement hachée.

Une fois la table en place, menu et couverts dressés, supprimer les rubriques excédentaires et faites migrer les articles dans les rubriques existantes. Dites-vous que s'ils étaient trop peu nombreux dans une assiette, ils seront moins perdus dans un grand plat.

4- Votre nouvelle recette vous plait ? Vous savez comment vous l'avez composée, mais comment faire pour que tout le monde en profite ? Avez-vous pensé à mettre des étiquettes sur vos pages, à bien les décrire dans le code. Une fois, documentée, envoyez votre recette aux moteurs de recherche, ils la goûteront mieux.

5- Ne négligez pas vos amis. Demandez-leur leur avis, ce qu'ils apprécient le plus, le moins et acceptez de faire quelques ajustements. Des goûts et des couleurs...discutez-en ! Sans aller jusqu'à l'écœurement, contentez-vous d'un soupçon de piment par ici, d'un bouton d'or par là.

Pour faire parler de votre recette, laissez faire les gourmets. Prenez quelques légumes, faites-les revenir à table, sans trop les assaisonner. Si vous les aimez, faites-les mousser sans retenue. Rien ne vaut une belle endive bien blanche qui vendra votre salade ou bien un beau chou vert qui fleurira de plaisir de se retrouver au milieu de votre assiette.

lundi 9 juin 2008

Écrire pour le Web

Qui n’a jamais été confronté à l’angoisse de la page blanche au moment d’écrire un article sur sa société ou ses activités ? Est-il si difficile de rédiger pour le Web ? Nous vous donnons quelques conseils pour ce support et quelques pistes et idées pour vous aider à valoriser vos écrits de communication sur Internet.

Sommaire


Rédiger pour Internet
Les contenus les plus efficaces sont très souvent les plus simples à produire. Il suffit bien souvent de :
  • Quelques paragraphes de texte pour introduire une nouvelle fonctionnalité,
  • Quelques photographies d’un stand de l’entreprise sur le dernier salon,
  • Une courte séquence vidéo.
L'erreur majeure des concepteurs éditoriaux est de réaliser des contenus trop denses ou trop longs. Le lecteur d'aujourd'hui est demandeur d'informations courtes et pertinentes.

La taille moyenne et maximale des textes dépend essentiellement du public auquel vous les adressés. Sur le Web, le grand public ne supporte pas les articles de plus de 1000 signes. Les professionnels peuvent lire un texte de plus de 2000 signes.

La lecture sur le Web est impitoyable et rapide. L’internaute appartient à la génération « zapping ». Si votre texte s’apparente à une thèse, il y a peu de chances qu’il soit lu entièrement à l’exception d’un petit noyau de spécialistes.

Vos textes doivent correspondre à vos lecteurs ou prospects.

Le journalisme d’entreprise est très proche du journalisme d’information classique. Nous vous conseillons :
  • D’employer un ton direct et informatif,
  • De présenter vos arguments avec vivacité et même humour
  • D’user sans abuser des photos et images
Si un site Web peut accepter des articles longs et riches en contenu graphique, une lettre d’information ne peut contenir que des textes brefs dotés d’un graphisme épuré. Dans le meilleur des cas, elle ne contiendra que des liens pointant vers des articles du site Web.

Écrire, une question d’environnement
La rédaction de communiqués ou articles demande un minimum de préparation. Même si l’actualité de votre entreprise nécessite de réagir « à chaud » il ne faut jamais publier un texte dans l’urgence.

Les quelques heures ou jours que vous prendrez pour donner forme à votre information feront la différence avec un document que nous qualifierons d’impulsif.

Écrire et communiquer doivent rester un plaisir. Avec un peu d'entraînement, vous deviendrez capable faire vibrer votre futur lecteur avec des sujets de fonds et des angles de vue originaux sur lesquels vos compétences pourront pleinement s'exprimer.

La cellule Web, le groupe projet éditorial
Si vous souhaitez faire participer votre équipe au projet Web, pourquoi ne pas créer une « cellule Web » ? Qu’il s’agisse d’une structure dédiée ou d’une équipe informelle, la mise en place d’une cellule Web poursuit deux objectifs :
  • Organiser la création des contenus,
  • Faciliter la mobilisation de votre équipe autour du projet d’animation de la communication Web.
Bruno BARJOU (in Manager par projet, publié en 1998 chez ESF éditeur, collection formation permanente, séminaires Mucchielli) définit sa mission comme suit :
« Son rôle est de faire circuler l’information, de solliciter avis, suggestions, idées des parties prenantes et de planifier et gérer les différentes étapes du projet. »

Il complète par « Le coordinateur a une autorité fonctionnelle qui lui permet de prendre des décisions dans certains domaines (procédure, délais, engagements financiers). Dans ce cas le projet est secondaire par rapport au fonctionnement des services. Il n’y a pas de modification fondamentale de l’organisation classique de l’entreprise. »

Chaque membre de la cellule Web doit pouvoir proposer des sujets, de nouveaux dossiers et rubriques, et rédiger les articles. La possibilité offerte à chacun de contribuer de manière simple est le principal critère de motivation qui fait vivre votre communication Web.

L’animation de la cellule Web répond aux mêmes exigences que tout projet informatique dans deux domaines. Le premier est l’ensemble des tâches :
  • Mobiliser les contributeurs ;
  • Communiquer en interne sur l’avancée du projet ;
  • Valoriser les membres de l’équipe, en leur assurant visibilité et reconnaissance ;
  • Déléguer et responsabiliser les collaborateurs vis-à-vis des tâches qui leur sont confiées ;
  • Planifier et suivre l’évolution du projet et réduire les écarts.
La communication du projet éditorial doit être particulièrement simple. Elle doit apporter une information précise, synthétique, imagée, adaptée à la logique des actions de communication, interactive avec le personnel projet pour faciliter l’appropriation), attractive et originale. Un tableau de bord comme le suivant est suffisant, pour peu que vous l’affichiez à la vue de tous les personnels de l’entreprise :
La similarité avec les projets informatiques tient aussi au profil des collaborateurs que vous sélectionnez pour la cellule Web. Sur son schéma, Bruno BARJOU qualifie cinq profils individuels selon deux axes : passif - actif et contre - pour.

Les contributeurs les plus efficaces, c’est-à-dire ceux que vous pouvez faire travailler ensemble sont les suiveurs, les leaders et les indécis.

Nous vous conseillons de formaliser votre projet éditorial avec une telle structure, souple, dynamique et en prise avec l’actualité.

lundi 7 avril 2008

Créer ou faire évoluer ses supports de communication Web

Le site Web est la première impression que votre entreprise donne à ses visiteurs virtuels. La lettre d’information est une image que vous projetez chez vos clients et vos prospects, parfois même dans les boites aux lettres électroniques de certains journalistes. La principale caractéristique de vos messages doit être le dynamisme, à la fois en contenu, dont le renouvellement doit être régulier, et en forme. Le courrier électronique remplace le courrier imprimé, mais il est peut être moins formel. La messagerie instantanée est un complément aux autres outils quand la mise en relation d’un groupe de personnes est possible pour faire avancer un projet avec les outils bureautiques habituels.


Sommaire
Le courrier électronique et les lettres d’information
Si le courrier électronique est devenu le mode de contact préféré dans le cadre des relations professionnelles, c’est parce qu’il fonctionne dans les deux sens. Pour personnaliser vos messages, et habituer vos contacts à une charte graphique qui vous est propre, rien ne vous empêche de définir un modèle d’e-mail. Il est aussi possible de mettre au point une politique claire pour la gestion des e-mails entrant et sortant, afin d’appliquer à ces échanges les mêmes exigences de qualité que ceux que vous appliquez à l’ensemble de la société.

En revanche, les lettres d’information sont souvent négligées par crainte de se montrer maladroit. Un tel support n’a pas à être chargé d’animations pour être lu. Un simple courrier électronique au format texte est apprécié, s’il contient les informations cruciales. La mise en forme est un luxe, en aucun cas une obligation.

Sachez aussi que les destinataires des informations commerciales ne sont pas les mêmes que ceux des textes plus institutionnels comme les communiqués de presse par exemple. Et que le format et la périodicité des envois doivent être adaptés à la cible de chaque lettre. Une lettre colorée et dense, envoyée tous les mois, sera appréciée des prospects et des clients, tandis qu’un simple texte, diffusé au moment d’un événement, sans image et rapide à lire sera préféré par les journalistes.

Un site Web complet
Si vous optez pour d’un portail Web dynamique, vous disposez alors d’un véritable centre de communication électronique pour l’entreprise. Celui-ci présente à la fois les contenus commerciaux et des textes plus généralistes et institutionnels. Cette technologie autorise aussi la création automatique des lettres d’information, à partir des contenus récents du site et de modèles prédéfinis, et leur envoi à une liste de diffusion. Ainsi vous économisez un temps de mise en forme HTML précieux, que vous pouvez consacrer à la rédaction d’autres contenus. De même, la gestion des abonnements à cette liste peut être assurée directement par le site, au travers de formulaires dédiés, grâce à la base de données de l’outil.

L’évolution à partir d’un site statique se fait souvent par rupture. Les fonctionnalités sont très différentes et les gains sont importants. Une refonte de l’identité graphique du site Web est indispensable, pour que les contenus, plus nombreux et mis à jour régulièrement, prennent leur place dans votre interface. Le portail Web d’une entreprise ressemble alors à un magazine électronique, complété d’informations commerciales et d’un espace presse.

Une telle coordination des outils Web n’est pas compliquée ni longue à mettre en œuvre. Quelques ressources et un peu de volonté peuvent vous permettre de définir comment vous pourrez efficacement intégrer votre stratégie Internet et votre politique commerciale. Néanmoins, nous vous recommandons de prendre conseil auprès d’un expert afin de baliser efficacement votre projet, de bénéficier des bonnes pratiques du marketing Web et surtout d’éviter les erreurs les plus classiques.

lundi 10 mars 2008

Le choix de l'open source

Les systèmes de gestion de contenu (CMS en anglais, pour Content Management System) les plus flexibles sont basés sur le quatuor de technologies d'infrastructure pour serveurs LAMP, pour :

  • Linux, le système d'exploitation, concurrent de Windows® ;
  • Apache, le principal serveur Web au monde ;
  • MySQL, la base de données open source, à développement communautaire ;
  • PHP, le langage de programmation, à développement communautaire.
Un site basé sur un CMS open source est constitué d'un ensemble de programmes PHP, de modèles HTML, le langage des pages des sites Web, et d'une base de données MySQL.

Calcul des pages HTML, cache et sécurité
Les pages du site Web sont calculées régulièrement par les programmes PHP, à partir des informations stockées dans la base de données MySQL et des modèles HTML. Elles sont ensuite placées dans le cache du serveur Web. Quand l'internaute se connecte au site Web accède en fait au cache du serveur Web. Elles sont donc accessibles en permanence même si le moteur PHP ou la base de données MySQL du serveur Web sont en panne.

Performances
Les pages créées sont légères et optimisées. Elles présentent des performances d'affichage élevées et ce d'autant plus que le nombre d'éléments graphiques reste faible ou moyen et que ceux-ci sont de petite taille.

Puisque les pages ne sont recalculées que lors des mises à jour, le serveur Web n'est pas sollicité en permanence et conserve des performances générales élevées.

Administration et rédaction en ligne
Un CMS open source fournit une interface d'administration en ligne. Elle permet aux rédacteurs du site et à ses administrateurs de gérer le site éditorial, de consulter les statistiques des visites, de rédiger les articles et d'ajouter des images, des documents ou des sites Web.

Gestion de contenu collaborative
Le site construit sous un CMS open source est un système complet de gestion de contenu éditorial. Il permet de travailler collectivement sur les articles, et fournit tous les outils de ce mode de travail :
  • La présentation de l'arborescence du site, en rubriques, articles, fils d'information, etc.,
  • La gestion des fichiers et des images chargées ou à charger sur le serveur,
  • Les outils de rédaction pour les rédacteurs,
  • Les outils de gestion du site pour les administrateurs.

mercredi 27 février 2008

Une montre automatique : un accessoire exclusif

Une montre automatique, d’abord ce n’est pas courant. A l’heure où le Système vous impose sa vision technologique, quel plaisir de porter et de montrer un objet issu de plusieurs centaines d’années dévolution de la mécanique. Et ce n'est pas banal.


Ensuite, c’est un objet qui a un volume, un poids. La mienne dispose d'un boitier imposant, de près d'1 cm d'épaisseur. Ce sont aussi des sensations. Un peu d'expérience ancestrale au poignet. Ce qui change du dernier gadget à la mode, imaginé il y a 2 mois, conçu dans la foulée, produit à quelques millions d'exemplaires depuis deux semaines en Asie et qui aura disparu... avant la fin de la saison.
Bref un mouvement mécanique, c'est un peu de tradition horlogère pour soi. De ce point de vue, vous vous sentez au centre de votre monde, comme le dépositaire de ce que nous avons fait de meilleur jusqu'à maintenant. Rien que ça, vous donne un sentiment d'exclusivité.

Ensuite, un mouvement automatique, c'est une sensation, un déséquilibre subtil, le déplacement de la masselotte, qui tourne autour de son axe et qui remonte le mécanisme. A l'heure où tout est miniature, léger et discret, un mouvement brusque du poignet se fait sentir, tant que la masselotte ne s'est pas arrêtée et le son de sa rotation dans le boitier, car le verre laisse filtrer le bruit.

Une montre automatique, c'est un peu comme un animal domestique, vous devez vous en occuper, la porter, sinon elle s'arrête. La mettre à l'heure pourquoi pas, mais devant toutes vos montres, laquelle choisissez-vous le matin avant de sortir ? Celle qui vous en donnera plus, la montre automatique, parce que vous la sentirez vivre à votre bras, comme votre ombre suit chacun de vos déplacements. Je suis probablement un sentimental, mais voir sa montre vivre, voir battre les différentes roues de son mouvement a quelque chose de magique. C'est le cœur de la montre qui pulse.

Esthétiquement, une montre automatique est un petit bijou. Nombreux sont les fabricants qui laissent le mouvement apparaitre au travers d'un fond de boitier en verre, et l'échappement au travers du cadran. La mienne est une Arbutus. La voici, en photo, mais d'autres modèles sont disponibles sur le site www.arbutus.fr, vous devriez trouver un modèle qui vous plaira.

jeudi 10 janvier 2008

BlackBerry : un smartphone qui fonctionne

Les BlackBerry sont des gadgets épatants. Le mien me permet de récupérer les e-mails que je reçois sur plusieurs adresses différentes sur mon mobile.

Bien sûr la compression des messages est telle que, si le message est complexe, il est difficilement lisible, mais il suffit la plupart du temps de s’abonner à la version texte des lettres d’information pour recevoir un contenu tout à fait lisible sur l’écran du BlackBerry. Et puis la plupart de ces lettres propose une page miroir qui permet de lire dans le navigateur Internet le contenu mis en forme au format Web et non plus au format messagerie.

Pour cela, il faut évidemment disposer d’un abonnement qui permet de télécharger des volumes raisonnables. L’offre à laquelle j’ai souscris me donne accès à 50 Mo par mois, ce qui devrait me suffire largement. Je vous en parlerai plus tard.